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Top 5 des petites lésions liées à l'équitation

Art, sport ou simple loisir, l’équitation est une technique fascinante qui demande de la maîtrise et une bonne dose de complicité. Sa pratique peut cependant s’accompagner de petites lésions, malgré de multiples précautions.

Tous les gestes liés à l’équitation sont susceptibles d’occasionner de petites blessures. De l’apprentissage à la pratique sportive, en passant par les soins à prodiguer au cheval et sans oublier les conditions environnementales. Tous les adeptes de l’équitation le savent, la discipline est exigeante et ne se fait généralement pas sans mal. Le danger peut venir de partout.

1. Attention aux doigts !

Les rênes qui aident le cavalier à guider et contrôler le cheval sont généralement tenues en main par l’homme. Tout frottement intense dû à un emballement de l’animal ou une mauvaise manœuvre peut donc occasionner de belles brûlures. Si le port de gants est formellement recommandé, il n’est pas toujours respecté, surtout quand il fait chaud…

2. SOS les fesses…

Dans l’équitation, le corps du cavalier est aussi mis à rude épreuve. Certaines fesses semblent, par exemple, plus sensibles que d’autres. Et il n’est pas rare de voir des fesses brûlées par des frottements répétés. Il faut donc que le cuir des fesses se fasse.

3. Le pansage, un moment de complicité

Brosser son cheval est pour le cavalier comme pour l’animal un moment de rencontre privilégié et un rituel intime qui consolide la relation du duo.

Malheureusement, l’utilisation des brosses successives n’est pas sans écueil pour les mains, surtout par temps froid. Faites de poils durs pour certaines, elles peuvent entailler la peau et la fragiliser. Ces petites plaies sont bien connues des cavaliers.

4. Aire de jeu et dangers

Les enfants aiment aussi profiter des chevaux en s’amusant et c’est tant mieux. Mais ils doivent redoubler de prudence, notamment dans les espaces extérieurs récréatifs qui peuvent être dangereux, du fait de la présence d’objets ou de surfaces métalliques coupantes. Les coupures et autres entailles cutanées ne sont pas rares.

5. A cheval, en toute liberté

Trotter ou galoper librement en pleine nature est une sensation merveilleuse pour un cavalier, mais elle n’est pas sans risque… surtout en forêt ou dans les bois. Les branches et les feuillages ne sont pas toujours tendres pour les joues ou les bras. Résultat : entailles, balafres et éraflures riment avec aventure !

Vous l’aurez compris, si le cheval est le meilleur ami de l’homme, Flamigel[r] pourrait bien devenir le partenaire idéal du cavalier averti. Qu’on se le dise.